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vendredi 20 mars 2015

CARREMENT CRAQUANT

Aujourd'hui je vous présente le dernier de la série des "Carrément" de Erin MacCarthy consacré à Eve Monroe
Couverture de Fast Track, Tome 6 : Carrément craquant

Description:
Ève est LA professionnelle des courses automobiles, en tant que responsable des relations publiques. Aussi, quand une affaire défraie la chronique, la voilà plus impliquée que jamais à défendre l’image du milieu. En effet, une vidéo indécente fait sensation sur la toile : celle des fesses nues et exposées du sportif Nolan Ford lors d’une course hypermédiatisée, qualifiée par l’intéressé de « dérapage vestimentaire ». Malgré son sérieux exemplaire, Ève doit toutefois bien avouer qu’elle a, elle aussi, un petit faible pour le corps sensuel de ce pilote rebelle…

Avis:
Si vous suivez mon blog et mes chroniques, vous avez donc pu constater que j'ai lu tous les tomes de cette série consacré au sport automobile. Je n'ai pas aimé tous les tomes bien que dans l'ensemble j'ai succombé à beaucoup des personnages!

J'aime l'univers dans lequel nous plonge Erin MacCarthy et je dois dire qu'après 5 tomes, elle a su encore me surprendre. Ici il n'est pas question de pilotes de courses mais de mécanicien! Faut bien trouver autre chose après tous ces beaux mâles qui nous ont fait fantasmer. Nous allons donc faire la connaissance de Nolan.

Mais je dois dire que côté personnage féminin, j'attendais avec impatience d'en savoir un peu plus sur Eve, la sœur d'Elec et Evan qui est accessoirement leur attaché de presse et nous est donc apparu à plusieurs reprises dans les différents tomes précédents.

Eve est celle qu'on s'imaginait: forte tête, un caractère bien trempé et très directive. Elle sait ce qu'elle veut et ne veut pas. Enfin elle pense savoir ce qu'elle veut et peut agir comme un petit tyran. Elle a d'ailleurs hérité d'un surnom peu flatteur par l'équipe automobile "la hache de guerre". Il faut dire que la demoiselle  exerce son métier avec autorité mais surtout avec rigidité et colère constante. Elle ne sait pas lâcher prise et se sent constamment stressée par son quotidien sur lequel elle veut toujours avoir le contrôle.
Elle peut donc se montrer parois désagréable avec son entourage qui ne cherche plus à la comprendre.

Mais Nolan Ford, lui, voit plus qu'au delà de ses excès de colère. Il sent en elle une solitude, une tristesse et un véritable besoin de lâcher prise qui l'attire. Cette femme lui plait, il veut la comprendre et la "guérir" de ses maux.
Il va donc tenter de percer sa carapace, faire briser ses barrières et entrer dans sa vie car il le sent, cette femme est faite pour lui.

Pas de surprise, c'est du Erin MacCarthy, vous retrouver son style intense et sensuel où tout va très vite entre les personnages. Pas de description superflue et ça vous va. Le schéma reste le même que les tomes précédents. J'avoue avoir été parfois agacée par le personnage d'Eve par ses remarques blessantes et ses remises en question constante. Elle m'a rappelé un peu le personnage d'Imogen. Mais elle m'a tout de même un peu plus touché car on aime la voir se lâcher et renouer avec ses propres envies.
Quand au personnage de Nolan, quoi dire à part : Je veux le même!! Un homme attentionné qui n'est pas rebuté par les piques de la dames, qui est aux petits soins, n'a pas peur des épreuves, surmontent les différences sociales et se bat pour sa belle malgré les réputations. Ah le romantisme quoi...

En bref, un tome plaisant, sans réel surprise avec des personnages attachants avec des échanges plein d'humour, parfois agaçant mais qui vous fera passé un bon moment de lecture. On en attend pas moins de cet auteur.

Extraits:
- Tu es un banana split?
Nolan éclata de rire.
- Pas exactement, dit-il, les yeux pétillants de malice. Mais certains principes s’appliquant aux bananes et aux glaces peuvent fonctionner.
Merde, comment s’était-elle engouffrée sur cette voie? Maintenant, elle ne pouvait penser qu’à déboutonner son jean pour prendre en bouche un grand pénis bien large et le lécher comme un cône glacé. La pensée était délicieuse.
C’était sa faute d’avoir regardé sa braguette. Mais elle n’allait pas s’engager avec lui dans un échange salace. Pas encore.
- Tu as l’esprit mal tourné.
- C’est toi qui mates ma braguette.
- J’ai cru voir du mouvement.
- Tu n’as peut-être pas tort.

Eve

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