Attention, lecture pour les plus habituées aux lectures adulte ( :- ).
Description :
Cette rouquine au caractère de feu
est bien décidée à aller droit au but !
Carriériste dans l'âme, l'entraineuse
Liz Darnell ne recule devant rien pour réussit. Lorsque le sex
symbol Gavin Riley menace de quitter l'équipe de baseball, elle est
prête à tout pour le retenir. Voilà longtemps que le joueur n'est
pas insensible au charme de son coach ? Quans il apprend que Liz
est capable de donner de sa personne pour le garde, Gavin accepte de
reconsidérer sa décision. Et si l'amour s'en mêlait ? Voilà
une avancée décisive dans le match qui les oppose, dont, avec un
peu de chance, ils sortirons vainqueurs tous les deux.
Avis :
Si
vous suivez régulièrement mon blog, vous savez que j'ai lu le
premier tome « la courbe parfaite » et que j'avais bien
aimé. Dans ce premier tome, les personnages de Mick mais aussi et
surtout de Tara étaient attachants face à leurs doutes, leur
découvertes de l'amour, les échecs et tous ceux qui allaient contre
eux.
Dans
ce second tome, nous suivons Gavin le frère de Mick et Elizabeth son
agent. Tandis sur Liz vient de subir l'échec de son renvoi auprès
de Mick, (après le coup bas qu'elle lui avait fait pour évincer
Tara) elle craint de perdre Gavin en tant que client mais aussi et
surtout en tant qu'ami. Ami qu'elle aime secrètement depuis 5 ans.
Lors d'une soirée, il finit par la convier chez lui pour la
confronter sur son silence radio depuis des semaines et va finalement
laisser parler le désir qu'il éprouve pour elle. Ainsi va commencer
une relation physique intense entre eux où chacun aura à cœur
d'ignorer les sentiments naissants de l'autre.
Bon
alors je vais être Cash, si le premier tome était HOT, le second
est carrément TORRIDE . Je dirais même que pour ma part,
ça l'était parfois trop. Bon ok c'est intense entre eux, mais à un
moment donné j'ai envie de dire « trop de sexe, tue le
sexe ! ». J'ai fini par sauté des passages car j'ai
trouvé qu'il y en avait trop ! Et pourtant, vous pouvez le voir
à ma liste de lectures, je suis pas une prude, j'ai l'habitude de ce genre de lecture donc ça vous donne une idée du ton du livre quand on voit l'épaisseur 447 pages en format poche !
Bref,
donc si on écarte ce fait et qu'on se concentre sur les personnages,
je dirais que c'est dommage du côté de Liz. L'auteure aborde son
passé familial qui nous éclair sur son caractère et ses choix de
vie. Mais c'est survolé à mon goût. Elle est quand même plus
touchante que dans le premier tome, on l'a comprend mieux .
De
son côté, Gavin est un homme aveugle, qui refuse de faire face à
ses sentiments ou qui va être long à la détente. Mais surtout qui
va faire des erreurs. Il va se laisser influencer par la rancoeur de
son frère Mick, et par les nons dits entre Liz et lui, entre ce
qu'il croit être vrai. Du coup, il va parfois se comporter comme un
"goujat".
A
part son côté sportif beau comme un dieu, dieu du sexe et qui sait
s'occuper du femme, sait faire à manger, etc, il ne m'a pas touché
plus que ça. Même si on cette fois ci également on a la narration selon les deux personnages, chose que j'apprécie tout particulièrement car il permet de bien ressentir les émotions, je n'ai pas assez ressenti d'émotions du côté masculin.
Mais
entre eux, les échanges sont assez humoristiques, ils se cherchent
c'est mignon. Ils ont du tempérament tous les deux. C'est ce que
j'ai apprécié dans le livre.
Vous
l'aurez compris, ça n'ai pas un coup de cœur pour moi. Sans doute
ne doit-on pas attendre des merveilles de ce type de roman mais j'ai
connu bien mieux avec le premier tome et avec ceux d'Erin MacCarthy
par exemple.
Là
franchement, je n'ai pas adhéré et j'ai eu hâte de l'avoir fini.
Je
vais quand même lire le 3ème tome, « les règles de
l'engagement » sur Jenna, leur sœur, car son personnage me
plaît et j'aime à croire que si l'auteure a su me faire aimer une
fois, elle peut le refaire !
Extraits
1)
—Toi et moi? C’est-à-dire? demanda-t-elle.
—Tu as fini ce que tu avais à faire avec tes clients? Elle hocha la tête.
—Dans ce cas, j’aimerais qu’on aille quelque part tous les deux, pour…
Il laissa descendre son regard le long de son corps, s’attardant à l’endroit où son chemisier en soie épousait la forme de ses seins. Puis il releva les yeux sur son visage, guettant sa réaction. Elle avala sa salive, et les muscles de sa gorge se tendirent sous l’effort.
Elizabeth était nerveuse. Gavin ne pensait pas l’avoir jamais vue dans cet état.
C’était parfait.
—… parler, termina-t-il.
—Parler ?
—Oui.
—Tu as fini ce que tu avais à faire avec tes clients? Elle hocha la tête.
—Dans ce cas, j’aimerais qu’on aille quelque part tous les deux, pour…
Il laissa descendre son regard le long de son corps, s’attardant à l’endroit où son chemisier en soie épousait la forme de ses seins. Puis il releva les yeux sur son visage, guettant sa réaction. Elle avala sa salive, et les muscles de sa gorge se tendirent sous l’effort.
Elizabeth était nerveuse. Gavin ne pensait pas l’avoir jamais vue dans cet état.
C’était parfait.
—… parler, termina-t-il.
—Parler ?
—Oui.
2)
— Elizabeth, accepterais-tu de me faire une tarte ?
Elle lui donna un petit coup d’épaule.
— Tu es cinglé. Je ne cuisine pas. C’est toi qui es censé cuisiner pour moi, tu te rappelles ?
— Je te ferai à dîner si tu me fais une tarte.
— Je ne cuisine pour personne.
— Mais tu ferais une tarte? Pour moi ?
Il se conduisait vraiment comme un gamin, parfois. C’était exaspérant. Mais c’était une des choses qu’elle préférait chez lui.
— On en reparlera plus tard.
— Non, on décide maintenant. C’est toi, la grande négociatrice. Tu m’as appris ce truc-là. On boucle l’affaire pendant qu’elle est sur la table.
— Salaud ! Et dire que je croyais que tu ne m’écoutais jamais. D’accord, je te ferai une tarte. Ou du moins j’essaierai de me rappeler comment on fait. Je ne garantis rien. Il est possible que je ne réussisse qu’à t’empoisonner.
— Je suis prêt à prendre le risque. Donc, revenons à ton enfance.
Elle lui donna un petit coup d’épaule.
— Tu es cinglé. Je ne cuisine pas. C’est toi qui es censé cuisiner pour moi, tu te rappelles ?
— Je te ferai à dîner si tu me fais une tarte.
— Je ne cuisine pour personne.
— Mais tu ferais une tarte? Pour moi ?
Il se conduisait vraiment comme un gamin, parfois. C’était exaspérant. Mais c’était une des choses qu’elle préférait chez lui.
— On en reparlera plus tard.
— Non, on décide maintenant. C’est toi, la grande négociatrice. Tu m’as appris ce truc-là. On boucle l’affaire pendant qu’elle est sur la table.
— Salaud ! Et dire que je croyais que tu ne m’écoutais jamais. D’accord, je te ferai une tarte. Ou du moins j’essaierai de me rappeler comment on fait. Je ne garantis rien. Il est possible que je ne réussisse qu’à t’empoisonner.
— Je suis prêt à prendre le risque. Donc, revenons à ton enfance.
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